Par contre les personnages ne sont pas tous fidèles au premier jet, ceux sont des dessins approximatifs.
J'ai aussi mis en ligne sur Art Lab corp deux autres planches D'Ulrik et Léna, qui si je veux bien raconter la maison-âme de Coulomnier le fantôme, ne va pas aller jusqu'au pays des abeilles. Ce sera pour un prochain épisode:).
C'est rigolo, j'ai de moins en moins peur de mes erreurs de dessins, je ne cherche plus à les corriger forcément.
Quand je lis une bd de quelqun qui a un dessin parfois tatonnant avec ses faiblesses, je m'attache beaucoup à ses "erreurs", elles me paraîssent en cohérence avec sa manière de raconter l'histoire. Ca sonne comme de l' "honnêteté" de la part de l'auteur.
Je ne vais pas arriver à en parler correctement en fait. C'est glissant comme sujet. C'est pas grave.
Toujours est t'il que je suis plus indulgente avec mes faiblesses de dessin. Ca m'évite de trop bloquer sur la réalisation d'une planche, déjà que je continue de les recommencer beaucoup. C'est la narration qui me reste prioritaire. Et je crois que j'aime beaucoup les dessins fragiles et hésitants. Avec beaucoup de détails. Comme quelqu'un qui raconte soigneusement et avec précaution une histoire de peur d'oublier des choses en cours de route.
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